Toi aussi tu te lèves en musique, tu commences la matinée en chantant et toute la journée tu saoules les personnes qui t'entourent avec ta chanson du moment... Non, non je ne parle pas du « Petit bonhomme en mouuusse » ou de « l'Azizaaa » mais plutôt du prochain tube (que tu connais avant tout le monde évidemment). En fait t'as la joie de vivre, tu es peut-être un vrai clubbeur ou clubbeuse, tu maîtrises tous les styles et connais toutes les paroles de chansons quelque soit la langue. Ou peut-être que tu es super nostalgique et te morfonds dans des paroles noires ? Bref, peu importe... Quoi, ah oué ? Tu te crois capable de répondre à mes questions en paroles de chansons ? Alors vas-y cite tes sources et suis mon rythme et mon tempo, c'est partiiiii ! |
« En paroles de chansons » de soniainfidele
Evalue sa théma sur la qualité de ses réponses, ne note ni ses goûts ni ses préférences.
Hello, la forme ? Ca plane pour moi (Plastic Bertrand). Je te rappelle le principe : essaie de répondre à cette théma en incluant un maximum de titres et paroles de chansons. Alors, quel est ton état d'esprit aujourd'hui ?
Une histoire vécue peut être :
En live Ce jour la, c’etait à un concert que que m'emmenait mon mari. C’était plutôt un genre de festival de musique des années 80. on aime tout les deux ce genre de musique et lorsqu’on sort en boite, c’est souvent dans des établissements où on passe ce style de rythme ou alors beaucoup plus latin. La seule chose que mon regrettait c’était que ça se passe à l’extérieur et en pleine journée ce qui ne laisse pas beaucoup de place pour les effets lumineux. Par contre la température était au rendez vous et s’était très agréable. Lorsqu'on arrive sur place on se rend vers les petites aubettes dans les quelles se vendent les précieux accessits à la prairie ou se déroule le festival. Heureusement qu’il faisait sec car je portais des chaussure à talon haut. C'était l'été dernier. Après avoir passé les barrières Nadar et le service de sécurité, on constate que contrairement à ce qu’on pensait, il y avait déjà pas mal de monde massé devant la scène. Les musicien y étaient déjà présents et accordaient les différents instruments. Des bribes de musique sortaient des montagnes de haut parleur disposé de chaque coté de l’énorme podium…..suite avec la prochaine photo on avançait lentement parmi le public assis à même le sol. je ne pouvais m’empêcher de penser à la vue que devait avoir les hommes devant les quelles je passais étant donné la longueur de ma tenue . j'ai d’ailleurs croisé certains regards des plus évocateurs. Au fil du temps qui passe, le public est de plus en plus nombreux et lorsque les premières notes retentissent, c’est un mouvement de foule qui nous pousse vers l’avant. Le public chante et danse, l’ambiance est excellente. De temps en temps je sentais une main frôler mes fesses, et à chaque fois, je me tournais vers mon mari pour lui faire un baiser sur les lèvres. Le rythme est de plus en plus soutenu, les morceaux plus entrainant les uns que les autres et lorsqu’arrive une chanson du groupe Boney M, un nouveau mouvement de foule me sépare de mon mari. Il tente de revenir vers moi mais n’y arrive pas, impossible pour lui de faire un pas dans ma direction alors il me fait signe de la main qu’on se retrouvera dès que la musique sera un peu plus calme. on se replonge tout les deux dans l’ambiance malgré cette séparation momentanée et involontaire quand je sens à nouveau une main se posé sur mes fesses. Ca ne peut plus être mon mari, il est bien trop loin mais est ce que ca a déjà été lui une seule fois depuis qu’on est arrivé. je sens qu’on me remonte la jupe doucement pour me caresser les fesses nues. Après avoir regardé mon mari qui ne se doute de rien, je glisse la main lentement vers l’arrière et touche celle de l’homme qui est entrain de me pelotée. A ce moment précis, le spectateur fautif se sent pris la main sous ma jupe et veut la retirée mais je l’agrippe pour lui faire comprendre que je veux qu’il continue. Il n’y a évidement pas besoin de l’en prié, je peux le lâcher car il me palpera le cul aussi longtemps que je le voudrai. Toujours le regard braqué sur mon mari, je cherche l’entre jambe du petit cochon aux mains baladeuses. Il le comprend et s’approche un peu plus. je sens une belle bosse au travers de son jeans que je tente de détacher. Il faut avouer qu’il est très difficile de détacher un pantalon surtout quand la personne est derrière sois et qu’il est imprudent de se retourner. me sentant en difficulté, le tripoteur détache lui-même son pantalon et en sort une queue bien dressée qu’il frotte contre mon cul. Il étale sur mes fesses le liquide visqueux qui s’écoule de son gland. Ce traitement m'excite et j'attrape à nouveau la queue tendue qui me caresse pour la branler de plus belle. L’excitation du gars était plus que palpable, il n’allait d’ailleurs pas tarder à jouir dans ma main encore une fois. C’est quand j'ai entendu le gars gémir dans mon oreille que j'ai sentit le fuit de sa jouissance me couler dans la main. je me suis alors arrêté de le branler, j'ai regardé à nouveau mon mari pour être certaine qu’il était toujours autant dans l’ambiance puis je me suis tournée vers le type que je découvrais pour la première fois. j'ai porté mes doigts couverts de sperme à ma bouche et les ai léchés et sucés pour en prendre tout le jus qui y était étalé. En voyant ce manège, le gars qui venait de jouir aurait voulu me prendre pour me baiser immédiatement au milieu de la foule mais la présence de mon mari et un minimum de pudeur a eu raison de cette envie. Les rythme endiablés ont maintenant laissé place à de la musique plus tendre et mon mari est revenu près de moi pour m’embrassée langoureusement avant de me regarder dans les yeux et de me dire : « J’ai envie de toi ». En posant ma main sur le sexe de mon mari, je lui ai répondu : « Je le sens bien mon chéri ». Quand on a quitté le concert, j'ai revu l’homme que j'avais fait jouir un peu plus tôt dans la journée. Il me montrait du doigt à des amis à lui en leur expliquant certainement que c’était moi la salope qui l’avait branlé pendant la représentation. Quand je fût plus proche de lui, je lui souris et lui fîts un clin d’œil. De retours à la maison, mon mari me prend dans ses bras et m’embrasse fougueusement en me caressant. C’est quand les mains de mon homme ont parcourus mon derrière que j'ai repensé à ce type qui m'avait tripoter le cul een s'essuyant la queue sur mes fesses. « La musique donne une âme à nos coeurs et des ailes à la pensée. » Platon. T'es une jeune demoiselle qui recherche un mec mortel (Diam's) ? Moi je t'offrirai des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas (Jacques Brel). Et toi si tu devais me draguer, tu poserais quoi comme ambiance, tu me la jouerais comment ?
Un autre récit d'une de mes infidélités. Dites moi par message ce que vous en pensez
Un souci de radio dans ma voiture : je téléphone au garagiste pour lui demander un rendez-vous. « Allo ? Oui bonjour monsieur, c’est Sonia S » « Bonjour Madame S » « J’ai un souci avec la radio de ma voiture, vous pourriez regarder ? » « Difficile, mon agenda est complet cette semaine » « Vous n’avez vraiment pas une petite place ? » « Passez demain vers midi, je verrai ce que je peux faire » J' étais satisfaite qu’on intercale un rendez vous de cette manière car je déteste rouler sans musique dans les oreilles. Le lendemain à midi je suis devant le garage. Un homme d’une cinquantaine d’années, grisonnant sort par une petite porte découpée dans un volet et se dirige vers ma voiture. Au moment d’en sortir, le garagiste me fait un signe de la main, un signe qui signifie de rester installée au volant en me disant qu’il ne doit pas y en avoir pour bien longtemps. D’après lui, il ne doit s’agir que d’un fusible. Il s’agenouille à côté de la voiture, portière ouverte, et plonge sous le volant. Je tente de lui faire de la place en me reculant le plus loin possible dans mon siège mais le mécanicien se tourne vers moi pour me dire que je ne gêne pas. Au même moment, j' écarte un peu les jambes pour qu’il ait une vue imprenable sous ma mini-jupe et qu’il constate que je ne porte qu'un petit string noir. Il a dû le remarquer car je voyais qu’il continuait son boulot les mains tremblantes. Après quelques instants, il me dit d’essayer la radio, ce que je fais immédiatement et une musique douce sort des haut-parleurs. Le mécano se tourne de nouveau vers moi, plus pour mater que pour me dire que le problème est résolu. Extrêmement surpris de me voir les cuisses bien plus largement ouvertes. Sans lui laisser le temps de faire la moindre réflexion, j' attrape le garagiste par les cheveux et l’attire vers ma chatte en lui disant sur un ton sec : « Vas-y lèche !» je n'ai pas eu à lui intimer cet ordre une deuxième fois. je sentais sa langue se faufiler entre mes lèvres, mon clitoris était aspiré, sucé comme j' aime qu’on me le fasse. je tenais le gars fermement par les cheveux et tirais sa tête vers ma chatte d’une main tandis que de l’autre, j' abaissais le siège pour lui faciliter l’accès. je le prends ensuite de nouveau à deux mains pour le tirer toujours plus fort comme pour l’y faire entrer toute entière. Plus la langue du mécanicien s’agitait sur mon sexe et plus je gémissais fort. Après l’avoir laissé lécher pendant plusieurs minutes, j' attrape le type et tire fermement sa tête vers le haut puis l’attire vers mon propre visage pour l’embrasser. Ma langue pénètre la bouche du garagiste puis c’est l’inverse qui se produit. je lui roule une pelle d’enfer comme j' en ai le secret. Pendant ce temps, le mec caresse mes cuisses. Sa main monte de plus en plus haut, elle est presque arrivée a mon sexe trempé lorsque je saisis sa main et la retire tout en le repoussant. Il se recule, l’air incrédule, pendant que je redresse mon siège. je le regarde en lui souriant : « Désolée, pas le temps aujourd’hui, peut-être une autre fois » je referme ma portière, baisse la vitre avant de dire au garagiste qui me regarde béatement : « Vous enverrez la facture à mon mari comme d’habitude n’est ce pas ?» Sur ce, je démarre en lui faisant un grand signe de la main. Les histoires d'amour finissent mal... en général (Les Rita Mitsouko). Mais j'espère que pour toi c'est pas le cas, je suis curieux et je voudrais savoir comment se résument tes histoires ? J'ai demandé à la lune, si tu voulais encore de moi (Indochine).
Disons que mon histoire d'amour dure mais mes histoires de sexe sont courtes
Tu t'es mariée, t'as trois gamins... ? T'as réussi, tu fais médecin... ? T'as pas changé, qu'est-ce que tu d'viens... ? On s'était dit rendez-vous dans 10 ans... (Patrick Bruel). Tu l'imagines comment ta vie dans 10 ans ? J'vais là où la vie m'mène, là où mes pieds m'trennent (Fonky Family)...
Dans 10 ans, je l'espère encore comme maintenant pour être franche car je l'aime comme je la vis
Une chanson douce que me chantait ma maman (Henri Salvador). Est-ce que tu te souviens d'une chanson de ta petite enfance ? Mais siiii, tu sais celles qui parlent de tomate, lapin, méchant loup, cousine, citron et petit indien.
Pour être franche, je n'en ai pas le moindre souvenir.
« Celui qui chante va de la joie à la mélodie, celui qui entend, de la mélodie à la joie. » Rabindranàth Tagore. Et à l'inverse, est-ce que t'as une vieille chanson préférée dont tu connais les paroles ? A la faveur de l'automne revient cette douce mélancolie. Un, deux, trois, quatre, un peu comme on fredonne de vieilles mélodies (Tété).
Il y a plein de chanson qui marque notre vie a tous d'autant plus que la musique m'accompagne a chaque instant donc en ressortir une seule serait très difficile
Pour mettre l'ambiance tu proposes quoi ? Y'a qu'à danser ! Cadencez ! Biguinez ! Zoukez ! Gars et filles tout mélangés, races et peaux tout collées (Raft).
Ben je dirais tout.....c'est un peu une suite logique
« La musique est la langue des émotions. » Emmanuel Kant. Dire que je n'ai pas, la force, c'est comme tout abandonner. J'ai survécu jusqu'ici ce n'est pas pour tout recommencer (Shy'm). Il ressemble à quoi ton tempérament, as-tu fort caractère ? Je me bats, j'ai l'habitude, d'avancer dans l'incertitude. J'ai gardé la même attitude, je déploie mes ailes et prends mon envole (Kenza Farah).
Je dirais que dans la vie ou le travail j'ai du caractère. Dans le sexe je suis plutôt soumise mais je suis aussi très joueuse
Est-ce que tu crois en quelque chose ? Parce qu'on sait jamais, on regarde vers le haut s'il y a un après (Christophe Maé).
Je ne suis pas croyante
Hum hum... Comment dire... Si on devait s'endormir ensemble ? Je me lève et je te bouscule, tu ne te réveilles pas comme d'habitude. Sur toi je remonte le drap, j'ai peur que tu aies froid comme d'habitude. Ma main caresse tes cheveux... (Claude François). Oulah je m'enflamme.
Au reveil, je serais moi aussi éveillée et ce serait bien plus chaud que ça
Allez pour se marrer, tu peux m'faire une chanson en lalala ? Je commence : nah, nana, nah, nah ! Nanananananaaa, nana, nah, nah ! Lalalalalaa, toum toum toum... lalalalalala HEY HEY ! Lalalalalala... Trop dur ? Roh bon d'accord un indice : 94 + (15 / 3) - 1
tainana na na na na
« Chanter, c'est comme honorer l'oxygène. » Björk. Pour finir je te laisse le choix de la conclusion mais toujours en chanson ! Tu m'en voudras de chanter ça, un truc mielleux un truc pour deux... C'est une somme de phrases faciles misent bout à bout (Kinito).
touch me....touch me.....
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